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Revue Proton VPN 2023 : Pourquoi c’est notre VPN de premier choix

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Proton vend une suite de produits de confidentialité, allant du courrier électronique au stockage de documents. Ainsi, lorsque j’ai utilisé Proton VPN, je connaissais déjà l’entreprise. Nous avons testé neuf des meilleurs services VPN disponibles pour notre guide global, notamment ExpressVPN, NordVPN, Surfshark et Tunnelbear. Proton promet « la confidentialité par défaut », mais cela m’a amené à me demander si l’entreprise voulait dire des tests de sécurité rigoureux – et si l’accent mis sur la confidentialité nuirait à la facilité d’utilisation. Parce qu’il équilibre tout ce qui précède, Proton VPN s’est retrouvé en tête de notre liste.

Les VPN peuvent être utilisés pour la navigation Web générale, mais j’ai testé chacun d’eux en streaming, en jouant et en évitant le géoblocage sur les serveurs. J’ai mesuré les vitesses de streaming en regardant Netflix canadien depuis chez moi aux États-Unis, en jouant à un jeu en ligne à partir d’un serveur VPN basé au Royaume-Uni et en regardant une chaîne d’information en direct sur YouTube à partir d’un VPN basé à Hong Kong.

Combien coûte Proton VPN ?

Proton propose une version gratuite, mais limitée, de son VPN. Il peut être utilisé sur un seul appareil ayant accès à des serveurs aux Pays-Bas, aux États-Unis et au Japon. Pour 5,99 $ par mois, l’abonnement payant de Proton VPN comprend l’accès à plus de 3 000 serveurs dans plus de 65 pays, une utilisation sur jusqu’à 10 appareils et un bloqueur de publicités et une protection contre les logiciels malveillants inclus. Ou pour 9,99 $ par mois, Proton vend un forfait « illimité » avec accès à tous ses produits de messagerie, calendrier, lecteur, VPN et gestionnaire de mots de passe.

Confidentialité et sécurité

Lorsque j’ai essayé les VPN, j’ai recherché des options permettant de sécuriser mes informations sans affecter ma capacité à naviguer facilement sur le Web. Proton VPN a une politique de non-journalisation, ce qui signifie qu’il ne collecte pas les données qui transitent par son réseau. C’est passé des audits externes, est basé sur un framework open source et exécute un programme de divulgation des vulnérabilités. Proton VPN a pour politique de ne pas se conformer aux demandes des forces de l’ordre et n’a aucune exigence de journalisation forcée car il est basé en Suisse, selon la société.

Rapidité et disponibilité

Il y avait peu ou pas de décalage lorsque j’utilisais Proton VPN pour ses capacités de streaming, de géoblocage et de jeu. J’ai également fait un test ping pour mesurer la latence Internet. Sans VPN, cela prenait 43 millisecondes, mais connecté à Proton VPN, cela prenait 49 millisecondes, ce qui n’est pas du tout une grande différence.

Pour les utilisateurs payants, Proton VPN est disponible sur plus de 1 800 serveurs dans 64 pays. Il est disponible sur iPhone, Android, Mac, Windows, Linux, les services de streaming et plus encore. Parce qu’il prend en charge jusqu’à 10 appareils à la fois, il est également facile à utiliser dans l’ensemble d’un foyer technologique.

Avantages et inconvénients du VPN Proton

Même notre premier choix n’est pas parfait. La version gratuite peut être un peu capricieuse et a parfois du mal à rester connectée. Selon Les rapports des consommateurs, il ne répond pas aux exigences de complexité des mots de passe et n’offre pas de protections claires contre les accès non autorisés. Comme beaucoup de ses concurrents, Proton VPN a également tendance à utiliser un langage marketing trompeur. Proton VPN fait de nobles affirmations – comme contourner la censure, vous protéger des pirates informatiques et surfer sur le Web sans surveillance – qui ne peuvent pas toujours être étayées par des faits.

Les VPN que j’ai testés étaient toujours bons. Ils ont facilité la navigation sur le Web en toute sécurité. Proton VPN a pris la première place en raison de sa sécurité globale et de sa facilité d’utilisation.

Meilleur VPN dans l’ensemble
VPN Proton

Proton

VPN Proton

Les VPN que nous avons essayés se sont classés de manière assez cohérente dans tous nos tests, mais ProtonVPN s’est imposé comme une option intéressante en raison de sa sécurité globale et de sa facilité d’utilisation.

The Fabulous Fear Machine est un délicieux jeu pulp sur les horreurs de la propagande

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Saviez-vous qu’AMC fabrique des jeux vidéo ? La chaîne de télévision responsable de Des hommes fous, Briser le mauvais et Les morts-vivants possède un label d’édition à part entière pour les jeux vidéo et a commercialisé quatre titres depuis 2020. Son premier était un simulateur de vol en temps réel de l’incubateur NYU Game Center appelé Mode avion, qui a piégé les joueurs dans le siège côté hublot d’un avion de ligne commercial pendant six heures, avec les petits luxes et les désagréments majeurs d’un autocar volant. La chaîne IFC d’AMC a même produit la vidéo sur la sécurité en vol pour ce jeu.

Alors oui, AMC édite des jeux vidéo. Son dernier projet est une collaboration avec Shudder, le service de streaming du réseau axé sur l’horreur, et il est développé par Fictiorama Studios, l’équipe derrière le film de 2018. Ne nourrissez pas les singes. Leur nouveau titre s’appelle La fabuleuse machine à peur et c’est un jeu de stratégie en temps réel effronté qui consiste à utiliser la terreur pour obtenir le pouvoir ultime. C’est un sujet capiteux présenté dans un style pulp art, avec un automate magique diseur de bonne aventure, des enjeux exagérés et des dialogues noirs dramatiques adoucissant le côté sérieux du récit. Pense Contes de la crypte, mais avec la propagande et la désinformation comme sujet cible. C’est kitsch, c’est camp, et parfois ça te fait faire une pause et dire : hein. En termes simples, je l’adore.

La fabuleuse machine à peur

Fictionrama Studios

La fabuleuse machine à peur est un jeu dense qui répond à vos décisions à chaque instant, puis rassemble votre histoire dans les pages d’une bande dessinée à l’ancienne. La diseuse de bonne aventure, enveloppée de verre et de lumières, utilise cette bande dessinée pour alimenter ses propres caprices surnaturels, mais tout cela est secondaire par rapport à vos quêtes personnelles de contrôle, de richesse et de pouvoir. Le jeu présente plusieurs maîtres de la machine, chacun avec un objectif unique, et démarre avec un brillant scientifique sociopathe qui veut conquérir le monde de l’entreprise à travers une société pharmaceutique. En tant que Maîtresse de la Machine, elle sème d’abord la panique et la paranoïa au Royaume-Uni et en Écosse.

Le jeu se déroule sur une carte du monde lumineuse, zoomée sur les emplacements appropriés. Après avoir semé une graine de terreur en un seul endroit, les joueurs l’aident à se propager en envoyant des agents dans les grandes villes, en collectant des informations, puis en y déposant des cartes Légendes, en cultivant de sombres mythes et des théories du complot basées sur les croyances locales. Les joueurs fixent un objectif pour chaque région ; pour le baron pharmaceutique, cela pourrait équivaloir à implanter le dogme selon lequel les médecines naturelles sont nocives ou que les médicaments génériques ne fonctionnent pas.

Il existe quatre centres psychiques que les Maîtres de la Machine peuvent cibler : Le Pouvoir, La Forme, Les Passions et L’Occulte. Il existe deux sous-catégories pour chaque centre psychique. La terreur du complot et la terreur du futur relèvent du pouvoir, la décrépitude et la douleur font partie de la forme, la violence et la mort font partie des passions, et l’irrationnel et l’inconnu sont des sous-ensembles de l’occulte. Des cartes spécifiques sont liées à ces sous-catégories, et les histoires sur ces cartes évoluent au fur et à mesure qu’elles sont jouées sur la carte et améliorées.

La fabuleuse machine à peur

Fictionrama Studios

Les cartes incluent des scénarios comme The Ultimate Virus, The Toaster is Listening, The Climate Machine, The Boogeyman et The Homicidal Nurse – des complots, des mythes et des angoisses qui peuvent être exacerbés par le message approprié. Répandre ces terreurs est un jeu de gestion d’actifs et d’intuition, alimentant les craintes appropriées dans les bonnes régions.

Mais les choses se compliquent vite. Avec l’aide d’agents sur le terrain, les joueurs doivent exploiter des ressources, générer et entretenir du carburant pour propager leurs campagnes de peur, et également repousser les contre-attaques des activistes et des entreprises rivales. La mise à niveau des cartes augmente la quantité de troubles qu’elles provoquent et implique la sélection de termes associés dans un nuage de mots. Les cartes racontent leurs propres petites histoires au fur et à mesure de leur mise à niveau, et celles-ci évoluent de campagnes chuchotées, à des sujets radiophoniques régionaux, en passant par les gros titres des principaux programmes d’information. Des sociétés rivales et des organisations pacifistes surgissent tout au long du chemin, tentant de contrecarrer vos efforts, et elles doivent être infiltrées et éliminées par tous les moyens nécessaires.

La fabuleuse machine à peur

Fictionrama Studios

Chaque action nécessite l’élément approprié, que les joueurs peuvent extraire des villes qu’ils ont découvertes. L’exploitation minière prend du temps, tout comme l’infiltration, la collecte de renseignements et la culture du carburant, et décider sur quoi se concentrer à tout moment alimente la tension du jeu. Attention : cela devient très difficile.

La fabuleuse machine à peur est disponible sur Steam pour 18 $, juste à temps pour la saison la plus effrayante. En termes de saisie, cela constituerait un jeu mobile fantastique, mais la quantité de détails fins et l’écriture à l’écran pourraient expliquer pourquoi il n’est disponible que sur PC, du moins pour le moment.

La fabuleuse machine à peur

Fictionrama Studios

Il s’avère que conquérir le monde par la seule terreur est complexe, étrangement drôle et rempli d’impasses. Au moins dans La fabuleuse machine à peurc’est aussi entièrement fictif – et extrêmement élégant.

Activision Blizzard appartient désormais officiellement à Microsoft

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La plus grosse acquisition de l’histoire du jeu vidéo et l’une des plus importantes de l’industrie technologique se trouve dans les livres. Vingt mois après l’annonce de l’accord, Microsoft a a acheté Activision Blizzard pour 68,7 milliards de dollars, la plus grande acquisition de l’histoire de l’entreprise. Le PDG de Microsoft Gaming, Phil Spencer, a demandé au PDG d’Activision, Bobby Kotick, de rester jusqu’à fin 2023, auquel cas il quittera l’entreprise. Le chemin a été long et semé de rebondissements pour en arriver là.

L’Autorité britannique de la concurrence et des marchés (CMA) a initialement bloqué l’accord en avril, mais elle et les sociétés ont convenu de suspendre l’appel de Microsoft pour tenter de dissiper les réserves du régulateur concernant l’impact de la fusion sur l’industrie du cloud gaming. Un tribunal d’appel a approuvé une demande de report de la procédure.

Pour tenter de convaincre le régulateur britannique, Microsoft a accepté de vendre les droits de jeu en nuage des titres Activision Blizzard à Ubisoft. Cela signifie que non seulement les jeux d’Activision Blizzard devraient être sur Xbox Game Pass, mais qu’ils atterriront sur Ubisoft+ et tout autre service de streaming de jeux avec lequel Ubisoft décide de travailler. Les préoccupations concernant la concurrence sur le marché du cloud gaming ont été la raison pour laquelle la CMA a initialement bloqué le rachat d’Activision par Microsoft, mais l’organisme de surveillance a déclaré en septembre que la concession d’Ubisoft « ouvre la porte à l’approbation de l’accord ». Quelques semaines plus tard, la CMA a approuvé la fusion.

Microsoft a également signé des accords de 10 ans avec Nintendo et plusieurs sociétés de cloud gaming pour proposer ses titres sur leurs plateformes. Ces mesures ont conduit l’Union européenne à donner son feu vert à la fusion. Les responsables de la concurrence du bloc aurait n’a rien vu dans l’accord de fusion modifié (avec le projet d’Ubisoft pris en compte) qui pourrait déclencher une nouvelle enquête antitrust.

Les tentatives de la Federal Trade Commission pour empêcher l’accord en raison de problèmes de concurrence n’ont pas abouti. L’agence a intenté une action en justice pour le bloquer en décembre et une audition des preuves dans cette affaire devait avoir lieu le 2 août. La FTC a tenté de bloquer temporairement la fusion en émettant une injonction préliminaire avant son procès administratif, mais un juge a rejeté cette tentative.

La FTC envisage toujours de contester la fusion. Si cet effort aboutit, Microsoft pourrait être contraint de céder tout ou partie d’Activision Blizzard.

Mais pour l’instant, l’affaire est conclue. Cela signifie, entre autres, que les titres d’Activision Blizzard seront disponibles sur les plateformes de cloud gaming pour la première fois depuis que l’éditeur a retiré ses titres de GeForce Now début 2020. Ses jeux rejoindront sûrement le Game Pass dans un avenir très proche, notamment sur Xbox Cloud Gaming, et ils apparaîtront sur Ubisoft+ et d’autres plates-formes avec lesquelles Ubisoft travaille.

Ceux qui attendent que les deux plus grands jeux d’Activision Blizzard de 2023 arrivent sur Game Pass devront certainement rester patients. L’éditeur a dit Call of Duty : Guerre moderne III et Diablo IV ne sera pas mis en service avant l’année prochaine.

Pendant ce temps, les jeux Blizzard arrivent déjà sur Steam plutôt que d’être cloisonnés sur le lanceur Battle.net. Nous les verrons probablement également apparaître sur l’application PC de Xbox. Pour ce que ça vaut, dans les dossiers judiciaires, Microsoft a qualifié la stratégie d’Activision de publier des versions PC des titres Call of Duty exclusivement sur Battle.net dans le but de développer la plate-forme un « échec retentissant ».

Scènes de

PRESSE ASSOCIÉE

L’une des principales raisons invoquées par Microsoft pour poursuivre cet accord était d’accélérer son objectif de devenir un acteur majeur sur le marché des jeux mobiles. Avec Activision Blizzard en tirant 1,9 milliard de dollars de revenus mobiles au cours des seuls six premiers mois de 2023, cet objectif sera atteint pratiquement du jour au lendemain.

King, à l’origine de la franchise à succès Candy Crush, a généré plus de revenus (1,49 milliard de dollars) qu’Activision (1,15 milliard de dollars) au premier semestre de cette année. Grâce en grande partie au succès massif de Diablo IV, Blizzard a acheté la plupart des trois unités au cours de cette période, avec un montant de plus de 1,5 milliard de dollars. Pourtant, King comptait 238 millions d’utilisateurs actifs mensuels au 30 juin, soit un peu plus de deux fois plus qu’Activision et Blizzard réunis. Il est récemment apparu que Candy Crush saga a généré plus de 20 milliards de dollars de revenus sur toute sa durée de vie.

Blizzard s’est également lancé dans le jeu mobile avec des sociétés comme Diablo Immortel. Activision, quant à lui, a Appel du devoir mobile dans son portefeuille et Call of Duty : Warzone Mobile est en route. La société a déclaré dans son dernier rapport sur les résultats que Call of Duty comptait environ 90 millions de joueurs mensuels, « dont plus de la moitié de l’engagement sur la plate-forme mobile ».

Quant à l’exclusivité des projets futurs, le PDG de Microsoft Gaming, Phil Spencer, a promis de « faire tout ce qu’il faut » pour continuer à expédier les jeux Call of Duty sur PlayStation. Après des mois de refus, Sony a finalement signé un pacte de 10 ans juste avant la date limite initiale de fusion, le 18 juillet, pour conserver cette franchise particulière sur PlayStation, reconnaissant ainsi son échec dans ses efforts pour stopper l’acquisition. Cependant, Microsoft choisira probablement de garder les autres jeux Activision Blizzard hors des plates-formes PlayStation, comme il l’a fait avec les titres ZeniMax/Bethesda. Chute rouge et Champ d’étoilesainsi que le prochain projet Indiana Jones de MachineGames.

Pendant ce temps, de nombreux observateurs espèrent que Microsoft contribuera à éradiquer la prétendue culture toxique du lieu de travail chez Activision Blizzard. Plus tôt cette année, Activision Blizzard a payé 35 millions de dollars pour régler les accusations de la SEC liées à la façon dont elle a traité les plaintes pour mauvaise conduite des employés au travail.

En 2021, le Département des droits civiques de Californie (anciennement Département de l’emploi et du logement équitables) a poursuivi l’entreprise en justice et l’a accusée de favoriser une culture de « frat boy » dans laquelle les employées étaient harcelées et discriminées. Activision Blizzard a contre-attaqué le CRD en décembre. L’affaire n’est pas résolue. En fait, le procès du CRD (qui, avec d’autres événements, a fait chuter les actions d’Activision) a lancé le bal pour l’acquisition de la société par Microsoft.

Podcast Engadget : critiques de Meta Quest 3 et Pixel 8 (Invité : Norm Chan de Tested)

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Le Meta Quest 3 est là, et c’est le meilleur casque VR autonome que nous ayons jamais vu. Mais est-ce suffisant pour que les gens s’intéressent à la réalité virtuelle ? Dans cet épisode, Devindra et le rédacteur principal Sam Rutherford discutent avec Testé Norm Chan sur le Quest 3 et l’avenir de la réalité mixte de Meta. Bien que la vision de l’entreprise sur le métaverse soit assez stérile, il est toujours agréable de voir Meta apprendre des erreurs du Quest Pro. (Assurez-vous de vérifier L’examen d’une heure de Norm sur le Quest 3 aussi!)

Sam plonge également dans ses critiques sur le Pixel 8 et le Pixel 8 Pro, ainsi que dans ses réflexions sur la Pixel Watch 2. Nous plongeons également dans la rétractation par Wired d’un éditorial affirmant que Google avait manipulé vos requêtes de recherche, ainsi que dans l’intégralité de Twitter/X. incapacité à fournir des informations précises pendant le conflit entre le Hamas et Israël.


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Les sujets

  • Revue de Meta Quest 3 avec Norm Chan de Tested – 1:44

  • Test du Pixel 8 de Sam Rutherford : Nous sommes enfin à nouveau enthousiasmés par l’IA mobile – 36:18

  • Autres actualités : Wired retire son article d’opinion sur la modification des requêtes de recherche par Google – 56:04

  • La désinformation sur le conflit Israël-Hamas montre que la modération X est complètement rompue – 58:09

  • Google paierait à Apple 18 à 20 milliards de dollars par an pour rester le moteur de recherche par défaut d’iOS – 1:03:08

  • Sony annonce enfin la PS5 Slim – 1:09:31

  • La Californie adopte la loi sur le droit à la réparation – 1:11:29

  • Travailler sur – 1:13:44

  • Choix de culture pop – 1:16:26

Crédits
Hôtes : Devindra Hardawar et Sam Rutherford
Invité : Norm Chan
Producteur : Ben Ellman
Musique : Dale North et Terrence O’Brien

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Best Buy pourrait mettre fin aux ventes de DVD et Blu-ray au début de l’année prochaine

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La lutte pour maintenir les ventes de DVD prend un autre coup dur. Best Buy mettrait fin à toutes les ventes de supports physiques – c’est-à-dire Blu-ray, DVD et 4K Ultra HD – en magasin et en ligne, Les bits numériques signalé. Plusieurs sources affirment que cette décision aura lieu au début de 2024, peut-être dès le premier trimestre. La nouvelle de la décision de Best Buy survient quelques semaines seulement après que Netflix a mis fin à son service de livraison de DVD, en vigueur depuis 25 ans, en envoyant ses dernières copies le 29 septembre.

La sortie de Best Buy du marché des DVD et Blu-ray laisse des options limitées aux États-Unis. Walmart (qui détient 45 % du marché) et Target proposent toujours les disques dans leurs magasins physiques, tandis que Redbox conserve 29 000 kiosques de location. Amazon est un acteur majeur en ligne, Paramount ayant récemment publié ses titres exclusifs Blu-ray et 4K Steelbook sur le site par rapport à Best Buy.

Les achats de disques ont chuté depuis l’arrivée du streaming. Selon le Digital Entertainment Grouples six premiers mois de 2023 ont vu une baisse de 28 % des produits physiques vendus par rapport à la même période en 2022. Les magasins Scondhand pourraient être le meilleur endroit pour trouver des DVD pour le moment, à moins qu’ils ne reviennent à la mode comme les vinyles.

La prochaine grande nouveauté de Netflix, ce sont les magasins de vente au détail de marque

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Netflix aurait l’intention d’ouvrir plusieurs salles physiques, appelées Netflix House. Les magasins vendront des produits pour les émissions à succès de Netflix, avec un peu de chance d’une qualité supérieure à celle prévue. Jeu de calmar tee-shirt dans lequel tu dors. En parlant de Jeu de calmarles deux sites initiaux comporteraient des parcours d’obstacles basés sur la série à succès, passant complètement à côté de la vision cinglante du capitalisme moderne de la série.

Il y aura également des installations artistiques à succès et des performances live en rotation pour enthousiasmer les fans. De plus, un restaurant sur place servira une cuisine à thème et des boissons tirées des émissions de téléréalité culinaires de Netflix. Je ne me lasse pas des restaurants à thème, alors comptez sur moi. Les deux premiers seront aux États-Unis, mais d’autres apparaîtront dans le monde entier.

Netflix a déjà touché à des événements et à des lieux du monde réel. Il a ouvert des expériences éphémères à travers la planète pour célébrer des spectacles comme Choses étranges et plusieurs de ses émissions de téléréalité. Au Royaume-Uni, Netflix Stranger Things : La première ombre la production théâtrale débutera ses représentations au Phoenix Theatre de Londres en novembre prochain.

— Mat Smith

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Ce fut le dernier obstacle majeur à la fusion.

TMA

NurPhoto via Getty Images

Le régulateur britannique de la concurrence a donné son feu vert à Microsoft pour racheter Activision Blizzard pour 68,7 milliards de dollars. Le régulateur a qualifié la concession de Microsoft de vendre les droits de jeux en nuage à Ubisoft de « changement de donne qui favorisera la concurrence ». Le dernier obstacle majeur étant écarté, l’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a désormais largement ouvert la voie aux sociétés pour clôturer la plus grande fusion de l’histoire du jeu vidéo. Cette décision était largement attendue après que l’organisme de surveillance ait déclaré en septembre que l’accord de fusion révisé de la société « répondait substantiellement aux préoccupations antérieures et ouvrait la porte à l’approbation de l’accord ».

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Trois zones démarrent la mise à niveau de la Classe X.

Comcast met à niveau son service Internet par câble résidentiel pour offrir des vitesses de téléchargement et de téléchargement allant jusqu’à 2 Gbit/s via des câbles coaxiaux vieux de plusieurs décennies. La société affirme qu’elle est le premier FAI au monde à offrir à ses clients des vitesses symétriques de plusieurs gigabits via la technologie DOCSIS 4.0, qu’elle alimente via le réseau Xfinity 10G. Comcast travaille sur cette technologie depuis plusieurs années et vise à offrir un service symétrique à 2 Gbps dans plus de 50 millions de foyers d’ici fin 2025.

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Enfin, une science révolutionnaire.

TMA

Warner Bros.

Une équipe mondiale de chercheurs étudiant les nuances statistiques et physiques des lancers de pièces dans le monde entier a conclu qu’une pièce a 50,8 % de chances d’atterrir du même côté qu’elle a commencé. Les auteurs du nouvel article ont effectué 350 757 flips, en utilisant différentes pièces de 46 devises pour éliminer le biais pile-face entre les conceptions de pièces. (Ils ont également fait appel à diverses personnes pour exclure les techniques de retournement biaisées.) Quel que soit le type de pièce, le résultat du même côté pourrait être prédit à 0,508, ce qui arrondit à 49/51.

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La capitale suédoise rejoint d’autres zones à faibles émissions en Europe.

En attendant que les véhicules électriques soient les moteurs dominants sur les routes, certaines régions ont pris l’initiative de résoudre le problème de la pollution de l’air liée aux moteurs à combustion. Stockholm, la capitale de la Suède, vient d’annoncer une interdiction des véhicules diesel et essence dans tout son centre-ville, à partir de 2025. L’interdiction n’affecte pas l’ensemble de la capitale, mais uniquement les 20 pâtés de maisons du centre-ville.

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Cruise propose désormais des trajets en robot-taxi payants à Houston

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Cruise teste ses véhicules autonomes à Houston depuis mai et a commencé à proposer à ses employés, ainsi qu’à certains amis et membres de leur famille, des trajets entièrement sans conducteur en août. Désormais, il offre au public la possibilité de se rendre à destination en robotaxis sans conducteur au volant. L’entreprise intègre désormais les résidents de Houston qui se sont inscrits sur sa liste d’attente, et elle encourage également ceux qui ne l’ont pas encore fait à le faire. visitez son site internet et envoyez une demande d’accès. Ceux qui arrivent tôt pourront héler un trajet sans conducteur via son application pour un tarif forfaitaire de 5 $ pour une durée limitée.

Initialement, Cruise aura le pouvoir de fonctionner sept jours sur sept, de 21 heures à 6 heures du matin, uniquement dans les quartiers de Downtown, Midtown, East Downtown, Montrose, Hyde Park et River Oaks. L’entreprise commence généralement par déployer une petite flotte de véhicules pour couvrir un nombre limité d’emplacements dans une ville, mais elle finit par étendre la disponibilité de ses véhicules.

Il faudra cependant probablement un certain temps avant que l’entreprise puisse fonctionner 24 heures sur 24 à Houston. À San Francisco, par exemple, Cruise n’a été autorisé à proposer des trajets de jour payants qu’en août, des mois après que les membres du personnel ont commencé à tester son service 24h/24 et 7j/7. Il convient de noter que même si Cruise a réussi à obtenir l’autorisation pour l’expansion, la société est toujours confrontée aux critiques des critiques qui s’inquiètent de la sécurité de la technologie des véhicules autonomes. L’un des commissaires de la California Public Utilities Commission (CPUC) a même voté contre l’autorisation de l’entreprise de fonctionner pendant la journée, arguant que l’agence ne disposait pas de suffisamment d’informations pour évaluer avec précision l’impact des véhicules autonomes sur les premiers intervenants.

Peu de temps après que la CPUC a donné à l’entreprise la permission de proposer des trajets payants de jour, le DMV de Californie a ouvert une enquête sur la collision d’un robotaxi de croisière avec un camion de pompiers. L’agence a alors demandé à Cruise de réduire de moitié sa flotte et de limiter le nombre de véhicules sans conducteur en opération à 50 de jour et 150 de nuit pendant que l’enquête est en cours.

Meta répond aux préoccupations de désinformation de l’UE concernant le conflit Israël-Hamas

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Meta a partagé un plan d’action de surveillance du contenu mis à jour alors que la guerre dévastatrice entre Israël et le Hamas se poursuit. Il s’ensuit un lettre sévère de Thierry Breton, le commissaire à la réglementation de l’Union européenne (UE), au PDG de Meta, Mark Zuckerberg, au sujet des problèmes de désinformation (tels que les deep fakes) et du respect de la loi sur les services numériques (DSA) de l’UE. L’entreprise avait 24 heures pour répondre.

Dans sa déclaration, Meta a déclaré avoir créé un centre d’opérations en constante évolution avec des experts parlant couramment l’hébreu et l’arabe : « Depuis les attaques terroristes du Hamas contre Israël samedi et la réponse d’Israël à Gaza, des équipes d’experts de toute notre entreprise ont travaillé 24 heures sur 24 pour surveiller nos plateformes tout en protégeant la capacité des personnes à utiliser nos applications pour faire la lumière sur les développements importants qui se produisent sur le terrain. » Meta affirme que cette nouvelle configuration leur permet de supprimer du contenu et de lutter plus rapidement contre la désinformation.

Meta aurait récupéré plus de 795 000 éléments de contenu distincts en hébreu ou en arabe et les aurait supprimés ou marqués d’une étiquette inquiétante dans les trois jours qui ont suivi l’attaque terroriste du Hamas. Sept fois plus de contenus dans ces deux langues ont été supprimés quotidiennement pour violation de sa politique sur les organisations et les individus dangereux par rapport aux deux mois précédant le conflit.

Le Hamas est répertorié sous Meta Organisations et individus dangereux politique et banni de toutes les plateformes de l’entreprise – tout comme tout contenu faisant l’éloge du groupe terroriste. Cependant, les « discours sociaux et politiques », tels que les articles de presse et les discussions générales, sont autorisés.

D’autres actions de Meta incluent la restriction de certains hashtags régulièrement associés à du contenu qui enfreint ses politiques et la suppression de tout contenu identifiant clairement un otage (bien que les images floues soient autorisées). La société a également abaissé le seuil de sa technologie de surveillance, réduisant idéalement les chances qu’elle recommande des contenus préjudiciables aux utilisateurs. « Nous souhaitons réitérer que nos politiques sont conçues pour donner la parole à chacun tout en assurant la sécurité des personnes sur nos applications », poursuit la déclaration de Meta. « Nous appliquons ces politiques indépendamment de la personne qui publie ou de ses convictions personnelles, et notre intention n’est jamais de supprimer une communauté ou un point de vue particulier. »

Il n’est pas clair si ces mesures satisferont Breton. Breton a envoyé une lettre similaire au propriétaire de X, Elon Musk. X a ensuite publié un aperçu de ses politiques mises à jour, mais l’UE a décidé d’ouvrir une enquête sur sa conformité avec le DSA.

La bataille de sept ans entre Caltech et Apple et Broadcom en matière de brevets Wi-Fi est terminée

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L’Institut de technologie de Californie (Caltech) a conclu un accord avec Apple et Broadcom concernant les puces Wi-Fi, mettant ainsi fin à un litige de brevet d’un milliard de dollars qui a débuté en 2016. Reuters a signalé. Dans un dossier, Caltech a déclaré qu’elle rejetait l’affaire avec préjudice, ce qui signifie qu’elle ne pouvait plus être déposée.

La saga a pris plusieurs tournures. Caltech a initialement allégué que des millions d’iPhones, d’iPads, de montres et d’autres appareils Apple équipés de puces Broadcom avaient violé ses brevets basés sur le Wi-Fi. L’institut a initialement remporté un prix du jury de 1,1 milliard de dollars, Apple étant condamné à payer 837,8 millions de dollars à Caltech et Broadcom à payer 270,2 millions de dollars supplémentaires.

Cependant, Apple a fait appel et une cour d’appel fédérale a annulé la décision, qualifiant la sentence de « juridiquement intenable ». Plus précisément, le juge a rejeté l’argument de Caltech selon lequel elle aurait pu négocier des licences avec Broadcom et Apple pour les mêmes puces.

Le jury alors ordonné un nouvel essai – bien qu’il ait également confirmé les conclusions du jury initial selon lesquelles Apple et Broadcom avaient violé deux brevets de Caltech. Ce procès devait avoir lieu en juin prochain, mais a été reporté sine die. Les parties ont déclaré au tribunal en août dernier qu’elles étaient parvenues à un « règlement potentiel », mais n’ont divulgué aucune autre information.

La technologie est vitale pour les normes WiFi 802.11n et 802.11ac, bien que son inventeur ait déclaré que les brevets (liés à la technologie de transmission de données) n’étaient pas conçus à l’origine pour le WiFi. Broadcom reste un fournisseur majeur d’Apple, ayant récemment signé un accord de 15 milliards de dollars pour fournir des puces pour les prochains iPhones et autres produits. Caltech a récemment réglé un procès similaire contre Samsung et a toujours des affaires de brevet Wi-Fi en cours avec Microsoft, Dell et HP.

Qualcomm supprime plus de 1 200 emplois en Californie

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Qualcomm vient d’informer le Département de développement de l’emploi de Californie qu’il supprime 1 258 postes au sein de l’État, selon Bloomberg. Cela représente environ 2,5 % de l’effectif total de l’entreprise, qui compte environ 50 000 personnes, mais les suppressions d’emplois n’affecteront que les travailleurs des bureaux de Qualcomm à San Diego et à Santa Clara, en Californie. Basé sur Bloomberg rapport, aucun poste n’est sûr : plus de 750 des employés concernés proviendraient de l’équipe d’ingénierie du fabricant de puces, y compris du personnel de niveau directeur. Les autres rôles concernés proviendront de différents départements et comprendront le personnel technique et comptable interne.

Le fabricant de puces est tenu par la loi d’informer l’agence californienne des suppressions d’emplois imminentes. Mais comme de nombreux autres pays n’appliquent pas la même règle, il n’est pas clair si Qualcomm envisage de supprimer des postes dans d’autres bureaux aux États-Unis et à l’étranger. Il convient de noter que ces suppressions d’emplois, bien que malheureuses, ne sont pas une surprise : l’entreprise a annoncé dans son rapport sur les résultats trimestriels (PDF) a annoncé en août qu’il allait prendre « des mesures de restructuration supplémentaires ».

À l’époque, le fabricant de puces avait admis qu’il s’attendait à ce que ces « actions de restructuration » consistent « en grande partie en réductions d’effectifs ». Cette décision lui permettra de « continuer à investir dans des opportunités clés de croissance et de diversification » face à « l’incertitude persistante de l’environnement macroéconomique et de la demande ». Comme Bloomberg note, Qualcomm tire toujours l’essentiel de son argent des ventes de smartphones et des performances du marché continue de décliner. En fait, les analystes ont déclaré que les expéditions mondiales de smartphones pour l’année sont en passe d’être le pire dans une décennie. Qualcomm lui-même pourrait voir ses revenus diminuer d’environ 19 % au cours de l’exercice en cours.

L’entreprise commencera à licencier du personnel vers la mi-décembre et espère en avoir terminé avec les changements de restructuration qu’elle doit apporter au cours du premier semestre de l’exercice 2024.

Le régulateur britannique approuve le rachat d’Activision Blizzard par Microsoft pour 68,7 milliards de dollars

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Le régulateur antitrust du Royaume-Uni a donné le feu vert à Microsoft pour acheter Activision Blizzard pour 68,7 milliards de dollars après de longs va-et-vient. Le régulateur a qualifié la concession de Microsoft de vendre les droits de jeux en nuage à Ubisoft de « changeur de jeu qui favorisera la concurrence ».

Le dernier obstacle majeur étant écarté, l’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a désormais largement ouvert la voie aux sociétés pour clôturer la plus grande fusion de l’histoire du jeu vidéo. Cette décision était largement attendue après que l’organisme de surveillance ait déclaré en septembre que l’accord de fusion révisé de la société « répondait de manière substantielle aux préoccupations antérieures et ouvrait la porte à l’approbation de l’accord ».

En avril, la CMA a bloqué l’accord au motif qu’il ferait de Microsoft un acteur trop dominant dans le domaine des jeux en nuage. Cependant, alors que d’autres dominos qui empêchaient la conclusion de l’accord tombaient, la CMA a donné à Microsoft une seconde chance de résoudre ses préoccupations. Les sociétés ont prolongé de trois mois leur accord de fusion afin de leur laisser le temps d’arranger les choses avec la CMA.

Microsoft a ensuite soumis un accord modifié à l’organisme de surveillance qui lui permettra de vendre les droits de streaming des jeux Activision Blizzard à Ubisoft si la fusion se concrétise. Ubisoft gérerait alors les droits de streaming cloud à perpétuité pour les titres actuels et tous les autres qu’Activision Blizzard publiera au cours des 15 années suivantes. Compte tenu des réticences de la CMA concernant l’accord initial, Microsoft espérait évidemment que la concession serait suffisamment importante pour répondre aux préoccupations du régulateur. Évidemment, c’est exactement ce qui s’est passé.

La CMA a déclaré le mois dernier qu’elle avait des « inquiétudes résiduelles » quant à l’application de la proposition révisée de Microsoft. Cependant, il a noté que « Microsoft a pris des engagements garantissant que les conditions de la vente des droits d’Activision à Ubisoft soient exécutoires par la CMA ».

Le régulateur a vanté son rôle en obligeant Microsoft à faire des concessions. « Avec la vente des droits de streaming cloud d’Activision à Ubisoft, nous avons veillé à ce que Microsoft ne puisse pas avoir la mainmise sur ce marché important et en développement rapide », a déclaré Sarah Cardell, directrice générale de CMA, dans un communiqué. « À mesure que le cloud gaming se développe, cette intervention garantira aux utilisateurs des prix plus compétitifs, de meilleurs services et plus de choix. Nous sommes la seule agence de concurrence au monde à avoir obtenu ce résultat.

Certains ont suggéré que les régulateurs antitrust de l’Union européenne pourraient réexaminer l’accord modifié. Les responsables de l’UE ont approuvé l’acquisition en mai après que Microsoft ait fait quelques concessions en matière de jeux en nuage. Selon Bloombergles régulateurs de la concurrence du bloc n’ont pas vu de raison de s’inquiéter de l’accord modifié qui donnerait lieu à une autre enquête.

Après qu’un tribunal américain a rejeté la tentative de la Federal Trade Commission de bloquer temporairement l’accord en attendant un procès administratif, la CMA et les deux sociétés en question ont demandé à un tribunal de retarder l’appel de Microsoft contre la décision initiale du régulateur britannique. Le tribunal a accepté et, après avoir examiné la proposition mise à jour de Microsoft, la CMA a approuvé la fusion. Il semble désormais que ce ne soit plus qu’une question de temps avant que l’affaire soit conclue et que l’une des plus grandes fusions technologiques de l’histoire soit dans les livres.

Il reste cependant un obstacle potentiel de taille. La FTC va de l’avant dans sa tentative de contester l’accord. Cet effort n’empêchera pas Microsoft de finaliser l’acquisition, mais il est possible que la FTC force l’entreprise à céder tout ou partie d’Activision Blizzard.

L’EPA n’obligera pas les services publics des eaux à inspecter leurs cyberdéfenses

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L’EPA est son projet visant à obliger les États à évaluer la cybersécurité et l’intégrité des programmes publics de systèmes d’eau. Bien que l’agence affirme continuer de croire que les mesures de protection en matière de cybersécurité sont essentielles pour le secteur public de l’eau, la décision a été prise après que les États dirigés par le Parti républicain ont poursuivi l’agence en justice pour avoir proposé cette règle.

Dans un qui accompagnait les nouvelles règles en mars, l’EPA a déclaré que les attaques de cybersécurité contre les systèmes d’eau et de traitement des eaux usées « ont le potentiel de désactiver ou de contaminer la fourniture d’eau potable aux consommateurs et à d’autres installations essentielles comme les hôpitaux ». Malgré la volonté de l’EPA de fournir une formation et un soutien technique pour aider les États et les organismes publics de distribution d’eau à mettre en œuvre des enquêtes sur la cybersécurité, cette décision a suscité l’opposition des avocats des États du Parti républicain et des groupes commerciaux.

Les procureurs républicains opposés aux nouvelles politiques proposées ont déclaré que l’appel à de nouvelles inspections pourrait submerger les régulateurs de l’État. Les procureurs généraux de l’Arkansas, de l’Iowa et tous ont poursuivi l’EPA – affirmant que l’agence n’avait aucune autorité pour fixer ces exigences. Cela a conduit à ce que la proposition de l’EPA soit de retour en juin.

Bien qu’il ne soit pas clair si des réglementations en matière de cybersécurité seront mises en œuvre pour protéger le public à l’avenir, l’EPA a déclaré qu’elle prévoyait de continuer à travailler avec l’industrie pour « réduire les risques de cybersécurité pour l’eau propre et salubre ». Elle encourage tous les États à « réviser volontairement  » la cybersécurité de leurs systèmes d’eau, rien que des actions proactives pourraient freiner les impacts potentiels sur la santé publique en cas de piratage.

Depuis l’événement très médiatisé qui a été révélé et celui de 2021 qui a temporairement interrompu les opérations du système d’oléoducs, il est devenu tout à fait clair que les entités gouvernementales et les agences publiques sont des cibles privilégiées pour les mauvais acteurs. Le a lancé une stratégie nationale axée sur les alliances public-privé pour transférer le fardeau de la cybersécurité sur les organisations qui sont «

Le service cellulaire par satellite de Starlink devrait être lancé en 2024, mais uniquement pour les SMS

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Le lancement du très attendu service cellulaire par satellite de Starlink, Direct-to-Cell, commencerait à être déployé pour les SMS en 2024, selon un site promotionnel récemment publié par l’entreprise. À terme, le système « permettra un accès omniprésent aux SMS, aux appels et à la navigation où que vous soyez sur terre, sur des lacs ou dans les eaux côtières » et se connectera aux appareils IoT via la norme LTE.

Starlink s’est associé à T-Mobile sur le projet, qui a été initialement annoncé en août dernier lors de l’événement « Coverage and Above and Beyond ». La collaboration voit T-Mobile réserver une partie de son spectre 5G pour une utilisation par les satellites de deuxième génération de Starlink ; Starlink permettra à son tour aux téléphones T-Mobile d’accéder au réseau satellite donnant au fournisseur de services cellulaires « couverture presque complète » des États-Unis.

Lors de l’événement en août dernier, le PDG de SpaceX Elon Musk a tweeté que « Starlink V2 » serait lancé cette année sur certains téléphones mobiles, ainsi que dans les véhicules Tesla. « Ce qui est important à ce sujet, c’est que cela signifie qu’il n’y a aucune zone morte nulle part dans le monde pour votre téléphone portable », Musk a déclaré dans un communiqué de presse à l’époque. « Nous sommes incroyablement excités de faire cela avec T-Mobile. » Cette estimation a été révisée lors d’une table ronde en mars au Conférence et exposition satellite 2023lorsque Jonathan Hofeller, vice-président des ventes d’entreprise de Starlink de SpaceX, a estimé les tests – et non l’exploitation commerciale – commenceraient en 2023.

La constellation existante de 4 265 satellites n’est pas compatible avec le nouveau service cellulaire. Starlink va donc devoir lancer une toute nouvelle série de microsats avec le modem eNodeB nécessaire installé, au cours des prochaines années. À mesure que davantage de satellites seront lancés, les fonctionnalités supplémentaires de voix et de données deviendront disponibles.

En tant que service de messagerie par satellite uniquement, Direct-to-Cell trouvera immédiatement la concurrence d’Apple, avec sa fonctionnalité SOS d’urgence via satellite dans iOS 14, ainsi que du rival Snapdragon Satellite de Qualcomm, qui envoie des SMS aux téléphones Android depuis l’orbite en utilisant l’Iridium. constellation. La concurrence devrait être féroce sur ce marché émergent, a déclaré Charles Miller, PDG de Lynk Global, lors de l’événement de mars, affirmant que les services cellulaires par satellite pourraient potentiellement constituer la « plus grande catégorie de services par satellite ».


L’UE enquête sur la réponse de X à la désinformation entre Israël et le Hamas

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L’Union européenne (UE) a ouvert une enquête dans X (anciennement Twitter) pour modération terne de contenus illégaux et de désinformation à la suite de la guerre Israël-Hamas. Le déménagement, via Temps Financier, survient deux jours après que le commissaire européen Thierry Breton a envoyé une lettre « urgente » au propriétaire de X, Elon Musk, interrogeant le milliardaire sur la gestion de la désinformation par l’entreprise. L’enquête formelle est la première dans le cadre de la nouvelle loi sur les services numériques (DSA), qui oblige les plateformes opérant en Europe à contrôler les contenus préjudiciables – et peut imposer des amendes suffisamment importantes pour lui donner du mordant.

Les responsables de l’UE ont envoyé à X une série de questions auxquelles l’entreprise a jusqu’au 18 octobre pour répondre. La commission affirme qu’elle déterminera ses prochaines étapes « sur la base de l’évaluation de X réponses ». Le DSA, adopté en 2022, exige que les entreprises sociales modèrent et suppriment de manière proactive les contenus illégaux. Ne pas le faire pourrait entraîner des amendes ou des pénalités périodiques qui, dans le cas de X, pourraient totaliser jusqu’à « cinq pour cent du chiffre d’affaires mondial quotidien de l’entreprise », selon FT.

Les chercheurs et les vérificateurs des faits ont mis en garde contre distribué largement désinformation sur X suite aux attaques du Hamas contre Israël. La lettre de mardi mettait en garde Musk contre les contenus préjudiciables sur X, signalant que Breton était prêt à utiliser toute la puissance du DSA pour faire respecter la conformité. « Suite aux attaques terroristes menées par le Hamas contre Israël, nous avons des indications selon lesquelles votre plateforme est utilisée pour diffuser des contenus illégaux et de la désinformation dans l’UE », a écrit Breton. « Je vous rappelle que la loi sur les services numériques fixe des obligations très précises en matière de modération des contenus. »

La réponse de Musk semblait contenir au moins une bouffée de moquerie. « Notre politique est que tout soit open source et transparent, une approche que je sais que l’UE soutient », a écrit le propriétaire de X et PDG de Tesla. « Veuillez énumérer les violations auxquelles vous faites allusion sur X, afin que (sic) le public puisse les voir. Merci beaucoup. » Breton a rétorqué : « Vous êtes bien au courant des rapports de vos utilisateurs – et des autorités – sur les faux contenus et la glorification de la violence. À vous de démontrer que vous prêchez par l’exemple.

Le commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, assiste à une table ronde avant la session plénière des ministres de la défense de l'UE à Tolède, Espagne, le 30 août 2023. REUTERS/Isabel Infantes

Le commissaire européen Thierry Breton (Isabel Infantes / Reuters)

La réponse de Yaccarino affirme que l’entreprise a redistribué ses ressources et remanié ses équipes internes pour résoudre les problèmes de modération liés au conflit au Moyen-Orient. Elle a déclaré que X avait supprimé ou étiqueté « des dizaines de milliers de contenus » depuis le début des attaques.

Le PDG a ajouté que X avait supprimé de la plateforme des centaines de comptes alignés sur le Hamas, tout en déclarant que l’entreprise travaillait avec des organisations antiterroristes. Yaccarino dit Les notes communautaires de X, une fonctionnalité de modération participative, sont désormais prises en charge sur Android et sur le Web (avec iOS « à venir »). Elle a également affirmé que la société avait « considérablement amélioré » une fonctionnalité qui envoie des notifications aux personnes qui ont aimé, répondu ou republié quelque chose qui a ensuite reçu une vérification des faits de la note de la communauté.

L’enquête récemment ouverte par l’UE s’interroge également sur la manière dont X est prêt à réagir en cas de crise et sur les procédures dont il dispose pour gérer la désinformation associée. L’entreprise aurait jusqu’à fin octobre pour répondre à ces questions.

Breton ne se concentre pas exclusivement sur X. Le commissaire a également envoyé cette semaine des lettres au PDG de Meta, Mark Zuckerberg, et au propriétaire de TikTok, ByteDance, leur rappelant leurs obligations envers la DSA à la suite de l’effusion de sang au Moyen-Orient.

Twitch empêche enfin les utilisateurs de regarder les chaînes dont ils sont bannis

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Twitch a enfin commencé à déployer un système qui permet aux créateurs d’empêcher les utilisateurs interdits de regarder leurs flux. Avant cet outil, les utilisateurs bannis ne pouvaient pas participer aux discussions, mais ils pouvaient regarder chaque seconde de votre flux avec leurs petits yeux effrayants. Maintenant, ils ne le peuvent pas. Eh bien… surtout.

Il y a une mise en garde importante. Alors que les utilisateurs bannis ne peuvent pas regarder vos flux, les utilisateurs déconnectés le peuvent. La solution de contournement serait donc simplement de vous déconnecter et d’accéder à votre page. Pourtant, ils n’auraient aucun moyen de faire connaître leur présence, donc cela deviendrait une sorte de chose du type « loin des yeux, loin du cœur ».

Cette fonctionnalité doit être activée via les paramètres de modération dans le tableau de bord du créateur, Une fois que vous l’avez allumé et que vous avez lancé le marteau d’interdiction sur un parasite, il perdra immédiatement la possibilité de regarder votre flux. Vous pouvez les annuler pour renouveler l’accès, ou ils peuvent se déconnecter et vous regarder de manière anonyme.

Il convient également de noter que Twitch bannit simplement les utilisateurs et non les adresses IP. Une autre solution possible serait donc que quelqu’un s’inscrive avec un nouveau nom d’utilisateur via une nouvelle adresse e-mail. C’est cependant pas mal de travail, juste pour regarder quelqu’un s’amuser avec La porte de Baldur 3. Pourtant, c’est Internet donc on ne sait jamais.

L’outil commence à être déployé aujourd’hui, mais Twitch dit que cela pourrait prendre un certain temps avant qu’il n’atteigne chaque compte, notant que « ces mises à jour sont déployées au fil du temps, de sorte que certaines personnes les obtiennent un peu plus tôt que d’autres ». Vérifiez votre application Twitch et recherchez la mise à jour.

Ce n’est que la dernière étape dans la guerre de Twitch contre les harceleurs. D’autres mesures visant à résoudre le problème incluent l’inclusion d’un renforcement de son système et l’adoption d’une


Logitech dévoile un kit d’accessoires pour le contrôleur PS5 Access de Sony

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Sony va bientôt sortir ce qu’il a conçu pour. Le périphérique à 90 $ est livré avec une variété d’options de personnalisation dans la boîte, et il existe quatre ports de 3,5 mm que les utilisateurs peuvent utiliser pour connecter des accessoires tiers au contrôleur.

Logitech s’est associé à Sony pour pour le contrôleur. Il comprend huit boutons et déclencheurs que vous pouvez brancher sur le périphérique. Ceux-ci comprennent deux petits et deux grands boutons avec interrupteurs mécaniques, deux boutons tactiles et deux commandes de déclenchement variables. Ceux-ci sont tous configurables sur la console pour répondre au mieux aux besoins du joueur. Le kit comprend des étiquettes avec des symboles PS5 que vous pouvez attacher aux boutons et aux déclencheurs, ainsi que des tapis et des attaches velcro pour que tout reste en place.

L’Adaptive Gaming Kit, qui sera disponible en janvier, . Logitech précédemment. Étant donné que les contrôleurs d’accessibilité des deux plates-formes de console utilisent des connecteurs 3,5 mm standard de l’industrie, la variante Xbox du kit Logitech devrait être compatible avec le contrôleur d’accès. Néanmoins, vous préféreriez peut-être des autocollants avec des symboles PlayStation pour vous aider à suivre ce qui se passe.

Pendant ce temps, Sony a sur l’emballage accessible du prochain périphérique. L’emballage a été conçu de manière à ce que vous puissiez l’ouvrir d’une seule main en tirant les boucles de chaque côté. La société a déclaré que les composants sont placés sur une seule couche pour faciliter leur identification.

L’Access Controller sera disponible le 6 décembre. Les précommandes sont ouvertes au .


Le mashup mobile surréaliste d’EA allie football et stratégie étape par étape

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EA est fabrication un jeu de stratégie au tour par tour basé sur… le football ? C’est la prémisse bizarre derrière le prochain EA Sports FC Tactiqueun titre mobile qui sortira sur iOS et Android début 2024. La société affirme que le volet le plus particulier de sa franchise vieille de plusieurs décennies (anciennement FIFA) se traduit par « une action de football authentique comme jamais auparavant ».

Comme sa description le suggère, les matchs seront simulés, donc vous ne contrôlerez pas directement les actions des joueurs comme dans les jeux sportifs traditionnels. Au lieu de cela, il se concentre sur les stratégies de jeu telles que l’endurance des joueurs et la gestion du jeu de puissance. Les modes jouables incluent des matchs en ligne et des « compétitions en ligne intenses » comme les matchs de classement, les ligues et les guildes. Cela ressemble à un jeu de sport pour ceux qui veulent 100 % de stratégie et peu ou pas d’action contrôlée par le joueur.

Les captures d’écran promotionnelles montrent une bataille en tête-à-tête avec des compétences numériques attribuées à chaque joueur. Ils sont répartis en catégories comme le dribble, le un-deux, les passes et le tir. Le joueur illustré semble avoir des cartes de mise sous tension de type « mouvement de compétence », comme un tir de poursuite combatif, un dribble sauvage et un tir de cou-de-pied flottant. Il semble qu’EA ait repris des éléments de gameplay de base familiers à des titres comme Tactiques de combat d’équipe (et bien d’autres) et y a apposé une peau de football pour attirer les fans des deux genres.

Capture d'écran du prochain

EA

Le jeu comptera plus de 5 000 joueurs sous licence issus de « plus de 10 ligues de haut niveau », dont la Premier League, la Liga, la Bundesliga, la Ligue 1 et la Serie A. Vous pouvez entraîner les joueurs pour améliorer leurs mouvements, débloquer de nouveaux traits au fur et à mesure de votre progression et personnalisez des produits cosmétiques tels que des designs de stade, des uniformes et des ballons.

« EA Sports FC Tactique adopte un gameplay stratégique pour créer une toute nouvelle expérience de football qui plonge les joueurs dans le jeu mondial comme jamais auparavant », a déclaré Nick Wlodyka, vice-président senior d’EA Sports. Le jeu est disponible en pré-inscription sur le Magasin d’applications et jeu de Google avant un lancement prévu le 18 janvier 2024.

Netflix va ouvrir des magasins de vente au détail de marque pour une raison quelconque

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Netflix gagnait son argent sur les supports physiques, en envoyant des DVD aux clients, et il semble que l’entreprise ait à nouveau tendance à se tourner vers l’analogique. Le géant du streaming a, étrangement, décidé d’ouvrir un certain nombre de points de vente physiques, appelés Netflix House,

Les magasins vendront des produits basés sur les émissions à succès de Netflix, vous pourrez donc enfin les acquérir. Avocat Lincoln tasse à café dont vous avez toujours rêvé. Les établissements Netflix House proposeront également des repas et des expériences en direct organisées. Sur ce dernier point, les deux lieux initiaux vont comporter un parcours d’obstacles basé sur Jeu de calmar. Cela semble passer à côté de l’essentiel de la satire brutale du capitalisme moderne de la série, mais c’est le cas depuis 2021.

Netflix House proposera également des installations artistiques tournantes basées sur des émissions à succès et des performances en direct pour enthousiasmer les fans. De plus, le restaurant sur place servira de la cuisine et des boissons initialement présentées dans les nombreuses émissions de téléréalité non scénarisées basées sur la nourriture du streamer. Le menu s’étendra de la restauration rapide décontractée à la restauration haut de gamme.

Les deux premiers sites devraient ouvrir aux États-Unis dans le courant de 2025, bien que Netflix n’ait pas précisé où, avec d’autres points de vente mondiaux à venir à une date ultérieure. Pourquoi cette grande poussée mondiale ? Josh Simon, vice-président des produits de consommation de l’entreprise, a déclaré Bloomberg que ses clients « adorent se plonger dans le monde de nos films et émissions de télévision, et nous avons beaucoup réfléchi à la façon dont nous pourrions passer au niveau supérieur ». Vous voulez vraiment passer au niveau supérieur ? Jouons à des versions réelles de Le cercle et Est-ce du gâteau ?

Bien sûr, ce n’est pas la première tentative de Netflix de s’attaquer au nirvana physique. Dans le passé, il a ouvert un certain nombre d’expériences éphémères à travers le monde pour Choses étranges et sa vague de programmes de réalité culinaire. Netflix House, en revanche, célébrera l’intégralité du contenu du streamer, même si nous doutons qu’il y ait des expériences en direct basées sur Vrai Rob, floconné ou Le ranch de sitôt. Cependant, cela ne nous dérangerait pas d’acquérir des bonbons Cavalier Bojack merch.

La société est encore en train de finaliser les détails concernant les menus, les emplacements et à peu près tout le reste. Il lui reste après tout plus d’un an pour s’installer.

Il n’y a pas de réponse facile au fait de devenir concierge de l’espace

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L’orbite terrestre est de plus en plus encombrée.

L’année dernière, un record de 2 409 objets ont été envoyés en orbite, dont la majeure partie étaient des satellites s’installant dans la région de plus en plus encombrée à 1 200 milles au-dessus de la surface de notre planète connue sous le nom d’orbite terrestre basse. Plus de 2 000 autres satellites les ont rejoints depuis le début de l’année, selon le rapport de l’ONU. Index en ligne des objets lancés dans l’espace. À mesure que la présence d’objets artificiels en orbite augmente, l’accumulation de débris ou de débris spatiaux augmente également – ​​ainsi que le risque de collision. S’occuper des déchets existants et empêcher leur croissance incontrôlée est devenu impératif, mais c’est un problème qui n’a pas de solution simple.

Actuellement, le réseau de surveillance spatiale du ministère américain de la Défense suit plus de 25 000 objets mesurant plus de 4 pouces de large, dont la plupart sont concentrés en orbite terrestre basse, et on estime qu’il existe encore des millions d’objets plus petits qui sont encore plus difficiles à localiser. Cela inclut tout, depuis les satellites défunts et les fragments de vaisseaux spatiaux jusqu’aux objets aussi petits qu’un éclat de peinture, qui peuvent tous endommager d’autres équipements en raison des vitesses extrêmes auxquelles les objets en orbite se déplacent. Jusqu’à présent, aucune mission n’a réussi à retirer les débris existants de l’orbite. Les propositions visant à éliminer ces débris se répartissent en deux grandes catégories (et imparfaites) : les pousser plus loin de la Terre vers des orbites de cimetière où ils présentent moins de risques, ou les tirer vers la Terre où ils se désorbiteront et brûleront dans l’atmosphère.

Un de ces systèmes est en cours de développement et de test par Astroéchelle. La société, dont le siège est au Japon, a démontré une tactique de capture et de libération magnétique en 2021 avec sa mission ELSA-d, qui simulait la stratégie en utilisant un satellite supplémentaire qu’elle avait apporté avec elle comme faux débris. Dans un scénario réel, son aimant se fixerait sur les débris flottant dans l’espace et les entraînerait vers la désorbite. Astroscale vend le sien plaques d’accueil que les opérateurs de satellites peuvent apposer sur leur équipement avant les lancements, afin qu’il puisse être facilement retiré après la fin d’une mission. L’entreprise s’est associée à la société britannique OneWeb pour tester son fonctionnement et prévoit d’exécuter une démonstration de suppression complète à l’aide de l’un des satellites Internet de l’entreprise en 2025 dans le cadre du projet. ELSA-M mission.

Astroéchelle lancera également bientôt son vaisseau spatial ADRAS-J en partenariat avec l’agence spatiale japonaise JAXA, pour démontrer la capacité d’approcher et d’inspecter en toute sécurité une cible réelle avant de futures tentatives de retrait. Et il se prépare pour une mission distincte baptisée COSMIQUE qui utilisera un bras robotique pour saisir des objets en orbite, visant cette fois deux satellites britanniques morts. Cela devrait être lancé dans les prochaines années.

L’Agence spatiale européenne a également chargé la startup suisse ClearSpace d’une mission d’élimination des déchets dont le lancement est prévu en 2026. Il s’agira de la première mission à réellement retirer un véritable débris de l’orbite, plutôt que d’effectuer une capture simulée. Ironiquement, la cible de la mission ClearSpace-1 – un étage supérieur de fusée d’environ 250 livres surnommé Vespa – était frappé par des débris non retrouvés en août. L’événement a créé davantage de débris, mais l’ESA affirme avoir laissé l’objet intact et toujours en position de capture. ClearSpace tentera de s’accrocher à Vespa à l’aide d’une griffe robotique géante, et les deux se désorbiteront ensemble, finissant par brûler tous les deux dans l’atmosphère terrestre.

Les chercheurs ont également expérimenté l’utilisation de harpons et de filets pour attraper des objets flottant dans l’espace. La première mission visant à démontrer ces techniques actives d’élimination des débris s’appelait RemoveDEBRIS, lancée en 2018. En 2018 et 2019, l’engin a effectué avec succès une capture de débris simulée par tirer un filet et piéger une cible factice, et en tirer avec un harpon sur une cible pour la percer et s’y accrocher. L’entreprise à l’origine du projet – Surrey Satellite Technology – ne semble pas avoir prévu de missions de suivi.

UN l’analyse coûts-avantages publié l’année dernière par la NASA, il a été noté que les avantages de remorqueurs spatiaux comme ceux-ci pourraient dépasser leurs coûts initiaux en quelques décennies, mais que l’utilisation de lasers spatiaux ou au sol pour pousser les débris hors de l’orbite pourrait se briser encore beaucoup plus tôt. Les lasers peuvent déplacer des objets soit grâce à l’impulsion de leurs photons, soit grâce à un processus appelé ablation, dans lequel une poussée est générée lorsque le laser vaporise des morceaux de débris. Ce dernier en particulier pourrait être utilisé pour des objets petits et grands, soit pour désorbiter des débris, soit pour déplacer des éléments traçables hors du chemin d’un autre satellite afin d’éviter une collision.

« Le processus d’ablation laser et de pression photonique induit un changement de vitesse dans les débris cibles, ce qui modifie finalement la taille et la forme de son orbite », a déclaré un ingénieur de l’Université de Virginie occidentale. Accrochez Woon Lee, à qui la NASA a récemment accordé jusqu’à trois ans de financement pour la recherche sur cette tactique. Cela pourrait signifier « éviter des événements potentiellement catastrophiques », a-t-il déclaré. L’utilisation simultanée de plusieurs lasers, au lieu d’un seul faisceau, pourrait produire des effets encore plus importants.

D’autres encore étudient les moyens de recycler les débris spatiaux, à la fois pour réduire les déchets et pour limiter le recours aux rentrées pour leur élimination. Bien que la réentrée soit l’une des méthodes d’élimination privilégiées, elle n’est pas entièrement dénuée d’effets secondaires, qui n’ont pas encore été bien étudiés. Les scientifiques ont commencé à s’exprimer sur les effets potentiels de l’appauvrissement de la couche d’ozone. un grand nombre de satellites se désintègrent dans l’atmosphère terrestre, qui libère des polluants comme oxydes d’aluminium et d’azote. On s’inquiète également de la pollution nocive de l’océan, où finissent les pièces des vaisseaux spatiaux qui ne se brisent pas complètement.

Une visualisation de la NASA des débris en orbite terrestre basse

NASA ODPO

Des sociétés comme Neumann Space et CisLunar Industries développent les moyens de faire fondre des pièces métalliques à partir de débris dans l’espace et réutiliser ce matériau comme combustible. Le Neumann Drive du premier convertit des tiges métalliques en plasma pour générer une poussée, et a récemment été intégré à un satellite pour la première fois pour commencer les tests du système dans l’espace. CisLunaired’autre part, développe la technologie nécessaire pour créer ces barres de combustible métalliques, ainsi que d’autres matériaux qui pourraient être réutilisés pour soutenir d’autres missions.

Aux États-Unis, les décideurs politiques commencent à sévir contre les entités commerciales contribuant à la pollution. La FCC a infligé sa toute première amende pour les débris spatiaux début octobre et a révisé ses lignes directrices l’année dernière pour les opérations en orbite terrestre basse, avec une nouvelle mandat qui stipule que les satellites en LEO doivent être mis hors orbite dans les 5 ans suivant la fin de leurs missions. Le Administration fédérale de l’aviation (FAA) envisage également des politiques plus strictes et a proposé une nouvelle règle en septembre qui obligerait les opérateurs de lancements commerciaux à mettre en place un plan pour retirer les étages supérieurs des fusées de l’orbite dans des délais fixés, de 30 jours à 25 ans selon les circonstances. .

Grâce à l’accélération rapide des activités spatiales commerciales dans les années 2020, nous avons vu un nombre sans précédent de nouveaux satellites arriver en orbite, et de nombreux autres sont encore en route. Avec davantage de fournisseurs de lancement sur place et l’innovation dans les systèmes de lancement réutilisables, dirigée par SpaceX avec ses fusées Falcon 9, les lancements sont devenus moins coûteux et plus réalisables. Et la concurrence pour fournir une connectivité Internet spatiale au moyen de « mégaconstellations » satellitaires s’intensifie ; La flotte Starlink de SpaceX compte désormais environ 5 000 satellites, Amazon vient de lancer les deux premiers prototypes de ses éventuels 3 200 satellites du projet Kuiper et OneWebb a placé plus de 600 satellites en orbite début 2023.

Les scientifiques mettent depuis longtemps en garde contre les réactions en chaîne potentiellement catastrophiques que pourraient provoquer les débris spatiaux si on les laisse devenir incontrôlables. Dans les années 1970, Donald Kessler, scientifique de la NASA et Burton Cour-Palais ont fait valoir dans un article que les débris rampants pourraient provoquer des collisions qui, à leur tour, créeraient davantage de débris et provoqueraient davantage de collisions. Le risque d’impacts entre satellites augmente également à mesure que davantage de satellites sont mis en orbite. Nous avons déjà eu un aperçu du désastre que cela pourrait être. En 2009, une publicité Le satellite Iridium 33 est entré en collision avec un satellite militaire russe disparu depuis longtemps, Cosmos 2251, créant près de 2 000 gros débris.

La destruction massive des satellites aurait de graves conséquences, tant dans l’espace que sur Terre. Cela pourrait interférer avec les activités scientifiques et l’exploration spatiale et menacer la sécurité des astronautes à bord de la Station spatiale internationale. Cela perturberait également les communications sur le terrain, supprimant les principales sources de connectivité Internet et cellulaire, ainsi que le GPS. Les services météorologiques sur lesquels nous comptons depuis longtemps seraient interrompus.

Plus que la moitié de tous les satellites ceux qui ont déjà été envoyés en orbite sont toujours là-haut, beaucoup d’entre eux étant inactifs. « Imaginez à quel point naviguer en haute mer serait dangereux si tous les navires perdus dans l’histoire dérivaient encore à la surface de l’eau », a déclaré le directeur général de l’ESA. Jan Wörner » a déclaré en 2019, lors de l’annonce de ClearSpace-1. « C’est la situation actuelle en orbite, et cela ne peut pas continuer. »

Threads obtient un bouton d’édition, aucun abonnement requis

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Threads déploie actuellement une paire de mises à jour utiles alors que Meta tente de donner plus d’élan à l’application. L’une des nouvelles fonctionnalités est un bouton d’édition, qui aidera les gens à éviter d’avoir à republier quelque chose lorsqu’ils souhaitent corriger une erreur.

X (anciennement Twitter) a mis 16 ans pour ajouter un bouton d’édition, puis l’a placé derrière le paywall Twitter Blue/X Premium. Il a fallu un peu plus de trois mois à Threads pour introduire une option similaire, gratuite pour tous les utilisateurs et disponible sur mobile et sur le Web.

Après avoir publié quelque chose sur Threads, vous disposerez de cinq minutes pour le modifier, comme 9to5Google fait remarquer. C’est un délai assez raisonnable (les utilisateurs X ont jusqu’à une heure pour peaufiner leurs tweets). En revanche, Threads n’affiche pas l’historique des modifications d’une publication. C’est mauvais pour la transparence, surtout si quelqu’un modifie de manière significative le fond d’un message qui gagne du terrain très rapidement.

Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, également noté que Threads ajoute la possibilité de publier des clips vocaux. C’est une autre mise à jour bienvenue, en particulier pour ceux qui préfèrent parler plutôt que taper (ou utiliser les fonctionnalités de synthèse vocale). Pendant ce temps, il semble que Threads travaille sur une fonctionnalité de sujets tendances.


Stockholm interdit la plupart des voitures à moteur à combustion de son centre-ville

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Le moteur à combustion est une merveille d’ingénierie, mais il a également largement contribué à la pollution de l’air. Après tout, il y a plus de 1,4 milliard de véhicules à moteur à combustion qui parcourent la planète. Cela représente une grande quantité de monoxyde de carbone, d’oxyde d’azote et d’hydrocarbures rejetés dans l’atmosphère.

En attendant (et en attendant) certaines régions ont pris sur elles de résoudre le problème de la pollution de l’air liée aux moteurs à combustion en interdisant complètement les véhicules. Stockholm, la capitale de la Suède, vient d’annoncer l’interdiction des véhicules diesel et essence dans tout son centre-ville,

L’interdiction entre en vigueur courant 2025, vous avez donc encore plus d’un an pour courir autour de Stockholm dans votre vieille Dodge délabrée. La nouvelle politique continuera cependant à autoriser les fourgonnettes hybrides dans le centre-ville, en plus des ambulances à combustion et des voitures de police. De plus, si vous avez un handicap documenté, vous pourrez conduire comme vous voulez, où vous voulez,

L’interdiction ne concerne pas l’ensemble de la capitale. Il s’agit uniquement de ce qu’on appelle le centre-ville, une zone comprenant 20 pâtés de maisons au cœur de la ville. Le vice-maire des transports de Stockholm, Lars Stromgren, a annoncé cette décision et a déclaré que les conditions actuelles représentaient une « situation totalement inacceptable », soulignant que l’air de la ville « provoque des maladies pulmonaires chez les bébés et la mort prématurée des personnes âgées ».

Les véhicules électriques seront bien entendu autorisés à circuler dans le centre-ville sans aucune restriction. La nouvelle politique de Stockholm rejoint d’autres zones à faibles émissions (LEZ) dans des villes de toute l’Europe, notamment Londres, Madrid, Berlin et Paris, entre autres. Stockholm va plus loin que n’importe quelle autre ville européenne avec cette interdiction quasi totale. Londres, par exemple, impose aux véhicules à combustion de circuler dans sa zone à faibles émissions, tandis que Paris, Athènes et Madrid viennent d’interdire les véhicules diesel.

Les détracteurs qualifient la politique de Stockholm de trop extrême. La Confédération suédoise des entreprises de transport a déclaré que le parti politique au pouvoir dans la ville était « beaucoup trop pressé » de réduire davantage les émissions liées à la combustion.

Les LEZ ont de bons résultats en matière de réduction des problèmes de santé liés à la pollution de l’air. Une étude récente de ont constaté que cinq des huit LEZ étudiées présentaient une réduction des problèmes cardiaques et circulatoires, avec moins d’hospitalisations pour crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux. Londres, par exemple, a connu une baisse de 19 % des particules nocives présentes dans l’air sale dans l’ensemble de sa zone à très faibles émissions depuis le déploiement du programme en 2019. Dans cet esprit, l’Europe est sur le point de se lancer à fond dans ce concept, avec plus de 500 nouvelles LEZ à venir d’ici 2025.

Après tout, les tirages au sort ne semblent pas avoir une cote de 50/50

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Les idées reçues sur les tirages au sort ont peut-être été bouleversées. Une équipe mondiale de chercheurs étudiant les nuances statistiques et physiques des lancers de pièces dans le monde conclu (via Phys.org) selon lequel une pièce de monnaie a 50,8 % de chances d’atterrir sur la même face sur laquelle elle a commencé, modifiant ainsi l’une des hypothèses les plus traditionnelles de la société sur la prise de décision aléatoire qui remonte au moins à l’Empire romain.

L’équipe a semblé valider un projet à plus petite échelle étude de 2007 par Persi Diaconis, mathématicien de Stanford, qui suggère un léger biais (environ 51 %) en faveur du côté dans lequel il a commencé. Les auteurs du nouvel article ont effectué 350 757 flips, en utilisant différentes pièces de 46 monnaies mondiales pour éliminer le biais tête-queue entre les conceptions de pièces. (Ils ont également utilisé diverses personnes pour exclure les individus utilisant des techniques de retournement biaisées corrompant les résultats.) Quel que soit le type de pièce, le résultat du même côté pourrait être prédit à 0,508, ce qui arrondit parfaitement à « environ 51 % » de Diaconis. prédiction d’il y a 16 ans.

Les chercheurs n’ont trouvé aucune preuve d’un biais tête-queue en excluant sa position de départ des données. En d’autres termes, si vous ne faites pas attention au côté où se trouve la pièce avant le lancer, les chances du résultat sont également susceptibles d’être face ou face.

PHI02:SPORT-NFL:PHILADELPHIA,PENNSYLVANIA,3DEC98 - l'arbitre de la NFL Bernie Kukar (C) lance la pièce au début du match de la NFL du 3 décembre entre les Eagles de Philadelphie et les Rams de St. Louis.  La NFL a institué de nouvelles règles pour le tirage au sort à la suite d'un appel controversé lors du match du 26 novembre entre les Lions de Détroit et les Steelers de Pittsburgh.  Le juge arrière Bill Leavy regarde par derrière, tout comme le fan des Eagles Mike Jenelli (34 ans).  BKS

Photographe Reuters / Reuters

Les lanceurs de pièces de l’étude ont sélectionné leur position de départ au hasard (ou selon un algorithme), ont lancé la pièce, l’ont attrapée dans leur main et ont enregistré la position d’atterrissage. (S’ils le retournaient dans leur paume avant de le révéler, le côté opposé sur lequel il commençait avait une probabilité de 50,8 %.) Tous les participants ont filmé et téléchargé des enregistrements de leurs retournements pour simplifier la collecte et les erreurs de codage. « Nos données fournissent donc des preuves solides que lorsque certaines personnes (mais pas toutes) lancent une pièce équitable, elle a tendance à atterrir du même côté qu’elle a commencé », écrivent les auteurs.

Le document note qu’il y avait un degré élevé de variabilité entre les lanceurs de pièces. « Certaines personnes semblent avoir peu ou pas de préjugés du même côté, tandis que d’autres affichent un préjugé du même côté, bien qu’à des degrés divers. » Mais dans l’ensemble, cela conduit à ces 50,8 % de chances en faveur du camp de départ.

Les résultats pourraient même conduire à de (légers) gains financiers. Les chercheurs disent que si vous pariez 1 $ sur 1 000 lancers de pièces distincts, en pariant toujours du côté où elle commence (et en attrapant la pièce plutôt que de la laisser rouler sur une surface ou de la retourner dans votre paume), vous gagneriez 19 $. profit. Les auteurs notent qu’il s’agit de meilleures chances que l’avantage inhérent d’un casino pour le blackjack à six jeux contre un joueur de haut niveau. Ils suggèrent que quiconque prend une décision à enjeux élevés sur la base d’un tirage au sort serait sage de cacher sa position de départ.

La SEC enquête sur le piratage de MOVEit qui a exposé les données d’au moins 64 millions de personnes

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Progress Software a révélé avoir reçu un de la SEC pour partager des informations relatives à la vulnérabilité de son logiciel de transfert de fichiers, , qui a fait l’objet d’un exploit massif à partir de mai dernier. Selon le dossier, l’enquête est actuellement une « enquête d’établissement des faits » et rien n’indique pour l’instant que Progress a « violé les lois fédérales sur les valeurs mobilières ». La société a l’intention de coopérer avec la SEC.

Un par la société de logiciels de cybersécurité Emsisoft estime que la violation MOVEit a exposé les informations d’au moins 64 millions de personnes via 2 547 organisations affiliées. Parmi les organisations touchées par la vulnérabilité Zero Day figurent le Louisiana Office of Motor Vehicles et le Colorado Department of Health Care Policy and Financing. les données de ses employés ont été compromises lors de l’exploit du début du mois. Et le fournisseur de services financiers basé au Michigan, Flagstar Bank, a envoyé à ses clients Cela dit, les dossiers ont été volés (ils bénéficieront désormais de services gratuits de surveillance de l’identité pendant deux ans.)

Les coupables de l’attaque – le gang du ransomware CL0P – « ont contribué à la pratique de la double extorsion », selon . Dans ce type de schéma, les rançonneurs chiffrent les données de la cible et menacent de divulguer lesdites données (à moins qu’elles ne soient payées). Le groupe a depuis fait pour divulguer certaines des données qu’ils ont exfiltrées lors du piratage MOVEit, auprès de sociétés comme Kirkland et TD Ameritrade. Le FBI a depuis jusqu’à 10 millions de dollars à toute personne disposant d’informations pouvant relier le CL0P à un gouvernement étranger particulier.

Le véritable coût (tant pour les victimes que pour Progress Software) reste inconnu pour le moment. Mais certains des clients concernés ont commencé à demander réparation pour la violation. Progress a révélé dans le même dossier réglementaire qu’il est actuellement partie à 58 recours collectifs. Beaucoup d’entre eux peuvent être consolidés au fur et à mesure de leur progression, mais ils présentent toujours la possibilité d’énormes sanctions civiles.


Vous pouvez désormais générer des images IA directement dans la barre de recherche Google

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Autrefois, en décembre dernier, nous devions nous rendre sur des sites Web spécialisés pour transformer nos invites en langage naturel en art généré par l’IA, mais plus maintenant ! Google a annoncé jeudi que les utilisateurs ayant opté pour sa Search Generative Experience (SGE) pourront créer des images IA directement à partir de la barre de recherche standard.

SGE est la vision de Google pour notre avenir en matière de recherche sur le Web. Plutôt que de sélectionner des sites Web dans une liste renvoyée, le système synthétisera une réponse (raisonnablement) cohérente à l’invite en langage naturel de l’utilisateur en utilisant les mêmes données que celles auxquelles les liens de la liste ont conduit. Les mises à jour de jeudi sont une extension naturelle de cette expérience, renvoyant simplement les images générées (en utilisant l’IA de conversion texte-image Imagen de la société) au lieu du texte généré. Les utilisateurs saisissent une description de ce qu’ils recherchent (un petit-déjeuner cuisiné au Capybara, dans l’exemple de Google) et, en quelques instants, le moteur créera quatre alternatives parmi lesquelles choisir et affiner davantage. Les utilisateurs pourront également exporter leurs images générées vers Drive ou les partager par e-mail.

un utilisateur devant un ordinateur, lui demandant de lui générer une image d'un capybara préparant le petit-déjeuner.

Google

De plus, les utilisateurs pourront générer des images directement dans Google images. Ainsi, si vous recherchez (encore une fois, l’exemple de Google) des « paramètres de table d’Halloween minimalistes » ou des « idées effrayantes de niche pour chien », vous pourrez saisir cela dans la barre de recherche et demander à Google de générer une image basée sur celle-ci. Ce qui est vraiment cool, c’est que vous pouvez ensuite activer Google Lens sur cette image générée pour rechercher des produits réels et réels qui ressemblent le plus à ce que l’ordinateur a halluciné pour vous.

Il existe bien entendu un certain nombre de limitations intégrées aux nouvelles fonctionnalités. Vous devrez être inscrit à Google Labs et avoir choisi de participer au programme SGE pour utiliser tout cela. De plus, les nouvelles fonctions de génération d’images ne seront disponibles qu’aux États-Unis, dans les applications en anglais et pour les utilisateurs de plus de 18 ans. Cette dernière exigence est un peu étrange étant donné que Google vient de faire tout son possible pour rendre le système plus performant. programme accessible aux adolescents.

L’entreprise intensifie également ses efforts pour freiner l’utilisation abusive de la technologie de l’IA générative. Les utilisateurs ne pourront pas créer d’images photoréalistes de visages humains. Vous voulez un capybara photoréaliste cuisinant du bacon, ce n’est pas un problème. Vous voulez un colonel Sanders photoréaliste cuisinant du bacon, vous allez rencontrer des problèmes et pas seulement en termes de canon publicitaire. Vous serez également empêché de générer des images de personnes « notables », donc je suppose que le colonel Sanders est absent de toute façon.

Enfin, Google met en œuvre le Système SynthID développé par DeepMind annoncé le mois dernier. SythID est un filigrane de métadonnées visuellement indétectable qui désigne une image générée en tant que telle, et fournit des informations sur qui ou quoi l’a créée et quand. Les nouvelles fonctionnalités seront disponibles via l’onglet Labs (cliquez sur l’icône en forme de flacon) dans l’application Google sur iOS et Android, ainsi que sur le bureau Chrome.

La Nintendo Switch OLED est à 35 $ de réduction chez Woot

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L’événement Prime Big Deal Days d’Amazon comprenait de nombreuses réductions sur les jeux et accessoires Nintendo Switch, mais une chose que nous n’avons pas vue en vente était la console elle-même. Cependant, Woot, filiale d’Amazon, a désormais conclu un nouvel accord qui amène le Nintendo Switch OLED jusqu’à 315 $. C’est 35 $ de réduction sur le prix catalogue de Nintendo. Bien qu’il ne s’agisse pas de la baisse de prix la plus importante que nous ayons jamais vue, les remises sur les consoles Switch sont relativement rares, donc toute opportunité d’économiser est généralement une bonne occasion. Woot dit que l’offre s’applique aux versions White et Neon Blue & Red de la console, et qu’elle durera neuf jours ou (plus probablement) jusqu’à ce que les consoles soient épuisées. Si vous êtes membre d’Amazon Prime, vous bénéficierez de la livraison gratuite.

Photo de Kris Naudus / Engadget

Il s’agit d’une réduction de 35 $ sur la console Switch haut de gamme de Nintendo. Contrairement à de nombreuses offres Woot, elle s’applique à l’appareil à l’état neuf et non à un modèle reconditionné.

315 $ chez Woot

Nous avons attribué au Switch OLED une note de 89 lors de son arrivée fin 2021. Pour rappel, il s’agit du modèle le plus haut de gamme de la gamme Switch, avec un écran OLED de 7 pouces qui est plus grand, plus lumineux et plus dynamique que les panneaux du Switch. le Switch ou le Switch Lite d’origine (qui restent tous deux disponibles à des prix inférieurs). Malgré l’écran plus grand, la machine elle-même est pratiquement identique en taille au modèle standard.

Au-delà de cela, le Switch OLED dispose d’une béquille plus grande et beaucoup moins fragile à l’arrière, et ses haut-parleurs intégrés sont généralement plus forts et plus clairs. Sa station d’accueil incluse est un peu plus pratique, car elle comporte un port LAN et une plaque arrière facilement amovible. Il y a également le double du stockage interne à 64 Go, même si vous aurez de toute façon besoin d’une carte microSD. Cela dit, il n’y a aucune différence de performances réelles entre les trois consoles, et Tarifs Nintendo les modèles OLED et standard avec la même autonomie de 4,5 à neuf heures.

Le gros inconvénient de cet accord ou de tout autre accord Switch à l’heure actuelle est que la console semble très probablement approcher de la fin de son cycle. L’appareil d’origine est arrivé il y a près de sept ans et un suivi est largement attendu pour arriver dans le courant de 2024. Un récent Eurogamer rapport, par exemple, a déclaré que Nintendo avait fait une démonstration d’un potentiel « Switch 2 » pour les développeurs de jeux lors du salon Gamescom en août. Donc, si vous n’avez pas envie de jouer à quoi que ce soit sur la Switch aujourd’hui, il semble prudent d’attendre.

Cependant, la Switch abrite toujours une formidable bibliothèque de jeux, avec des titres prometteurs comme Super Mario Bros. Merveille et le Super Mario RPG le remake est toujours en route. (Votre serviteur est actuellement obsédé par F-Zéro 99une autre version récente.) Pour l’instant, le Switch OLED est le meilleur moyen de profiter de tous, c’est donc une belle occasion d’économiser si vous souhaitez rattraper votre retard.

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Comcast commence à atteindre des vitesses Internet symétriques de 2 Gbit/s grâce à des câbles coaxiaux vieux de plusieurs décennies

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met à niveau son service Internet par câble résidentiel pour offrir des vitesses de téléchargement et de téléchargement allant jusqu’à 2 Gbit/s via des câbles coaxiaux vieux de plusieurs décennies. L’entreprise dit c’est le premier FAI au monde à offrir à ses clients des vitesses symétriques de plusieurs gigabits via technologie, qu’il alimente via le réseau Xfinity 10G.

Le service Internet zippy X-Class sera d’abord disponible dans certains quartiers de Colorado Springs, au Colorado, à partir de la semaine prochaine. Il arrivera bientôt dans certaines parties d’Atlanta et de Philadelphie, puis sur d’autres marchés au cours des prochaines années.

Comcast affirme que les connexions DOCSIS 4.0 sont déjà disponibles dans des dizaines de millions de foyers aux États-Unis. Des vitesses de téléchargement de plusieurs gigabits sont possibles via le câble depuis plusieurs années. La mise à niveau vers DOCSIS 4.0 améliorera non seulement les vitesses de téléchargement, mais permettra également de fournir des téléchargements symétriques tout en minimisant le décalage et en évitant tout impact sur le service en aval.

Comcast a été et vise à offrir un service symétrique de 2 Gbit/s dans plus de 50 millions de foyers. Puisqu’ils pourront accéder à des connexions plus rapides via l’infrastructure de câble coaxial existante, de nombreux consommateurs n’auront pas besoin d’attendre que Comcast connecte leur maison à un réseau. réseau fibre optique avant de pouvoir tirer le meilleur parti des vitesses de téléchargement et de téléchargement de plusieurs gigabits.

De plus, DOCSIS 4.0 est capable de prendre en charge des vitesses allant jusqu’à 10 Gbit/s en aval et jusqu’à 6 Gbit/s en amont, de sorte que les câbles coaxiaux pourraient être en mesure de transporter des connexions Internet encore plus rapides à l’avenir. , Comcast a atteint des vitesses de téléchargement de 6 Gbit/s et des vitesses de téléchargement de 4 Gbit/s.

Kia lance le SUV EV5 aux côtés de deux nouveaux concepts électriques abordables

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Lors de l’événement EV Day de Kia, le constructeur automobile a lancé son prochain véhicule électrique, l’EV5, et a introduit deux nouveaux concepts destinés à rendre la technologie plus accessible. La société affirme qu’elle vise à offrir aux gens une large gamme de véhicules électriques comprenant l’EV6 et le plus récent EV9, qui promet une autonomie de niveau 3 et une autonomie de 336 milles. Il espère vendre l’EV5 et, à terme, les EV4 et EV3 à des prix allant de 35 000 $ à 50 000 $ « pour accélérer l’adoption généralisée des véhicules électriques ».

Le SUV EV5 est le troisième véhicule purement électrique de sa gamme. Kia l’a conçu sur E-GMP, sa plate-forme dédiée aux véhicules électriques, et prévoit actuellement de les fabriquer et de les vendre en Chine et en Corée. Ses spécifications diffèrent pour chaque marché, la Chine obtenant une variante AWD standard, longue portée et longue portée. Le modèle standard chinois sera livré avec une batterie de 64 kWh, ainsi qu’un moteur de 160 kW, et devrait avoir une autonomie de 530 km ou 329 miles.

Pendant ce temps, la version longue autonomie disposera d’une batterie plus grosse pouvant atteindre une autonomie de 720 km ou 447 miles avec une seule charge. Le modèle AWD aura une autonomie de 650 km ou 404 miles et sera doté d’une capacité de charge rapide. Quant aux modèles coréens, leur gamme sera apparemment adaptée aux demandes du marché. Kia indique qu’une variante GT dotée de caractéristiques de performance sera également dévoilée à une date ultérieure.

Un petit SUV

Kia

Bien que l’EV5 soit un véritable produit qui sera initialement disponible à la vente sur le marché chinois plus tard cette année, les autres véhicules électriques dévoilés par Kia lors de son événement sont encore un concept à ce stade. L’EV3 (photo ci-dessus), s’il s’avère exactement comme le constructeur automobile l’envisageait, sera une version compacte et accessible de l’EV9. L’EV4 de Kia (ci-dessous), en revanche, sera une berline avec un nez bas, des lignes pointues et un intérieur futuriste aux allures de cocon. Il reste à voir si Kia pourra atteindre un prix de 35 000 $, ce qui semble être un objectif commun parmi les fabricants de véhicules électriques, pour l’un des véhicules susmentionnés.

Une berline Chrome.

Kia

SAG-AFTRA accuse les studios de « tactiques d’intimidation » après l’échec des négociations

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Deux semaines se sont écoulées depuis que la Writers Guild of America a conclu un accord pour reprendre ses activités, mais les choses ne s’annoncent pas bien pour son homologue, la Screen Actors Guild-American Federation of Television and Radio Artists (SAG-AFTRA). Les négociations ont échoué mercredi soir avec l’Alliance des producteurs de films et de télévision (AMPTP) en raison de « tactiques d’intimidation », les PDG se seraient retirés sans proposer de contre-offre. Le comité de négociation de la SAG-AFTRA a déclaré dans un communiqué. Des PDG tels que Bob Iger de Disney et Ted Sarandos de Netflix ont commencé à rencontrer personnellement les négociateurs du SAG-AFTRA début octobre.

Le comité travaille à trouver un accord pour les acteurs, en grève depuis la mi-juillet. « Nous avons négocié avec eux de bonne foi, malgré le fait que la semaine dernière, ils ont présenté une offre qui, de manière choquante, valait moins que ce qu’ils proposaient avant le début de la grève », a ajouté la SAG-AFTRA. « Ces entreprises refusent de protéger les artistes du remplacement par l’IA, elles refusent d’augmenter vos salaires pour suivre l’inflation, et elles refusent de partager une infime partie des immenses revenus que votre travail leur génère. »

L’AMPTP affirme qu’une réduction demandée des revenus du streaming coûterait 800 millions de dollars par an, un chiffre qui, selon la SAG-AFTRA, est gonflé de 60 pour cent après « des contre-attaques importantes et significatives » du syndicat. Selon la SAG-AFTRA, cette tactique est une tentative de tromper les membres et de briser leur soutien. Le syndicat affirme également que l’AMPTP exige dès le premier jour le consentement de l’IA des acteurs pour utiliser leur image dans l’ensemble d’une franchise. Pour l’instant, la SAG-AFTRA encourage ses membres à continuer de se présenter aux piquets de grève et aux événements de solidarité.

Notre verdict sur le Pixel 8 Pro de Google

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Les critiques continuent d’arriver cette semaine. Après toutes les astuces d’IA, l’escalade et le barrage de spécifications que nous avons vu lors du grand événement de révélation des pixels de Google, comment les smartphones phares de Google se comparent-ils ?

Assez bien, d’après nos critiques du Pixel 8 Pro et du Pixel 8. Le point culminant surprise est l’IA, qui utilise l’apprentissage automatique et sa puce Tensor G3 maison de manière tangible et pratique par rapport à des services comme ChatGPT ou Midjourney. Cela inclut l’amélioration de l’apparence de vos photos, le son des vidéos et l’ajout d’un panache interactif de voix robotique au filtrage des appels.

TMA

Engadget

Les deux appareils disposent à nouveau d’appareils photo incroyablement performants, avec un zoom optique 5x sur le Pixel 8 Pro (correspondant à l’iPhone 15 Pro Max) et de nouvelles commandes professionnelles également. Selon Sam Rutherford d’Engadget, le Pixel 8 Pro semble être l’appareil photo pour smartphone le plus puissant du marché.

S’il y a une mise en garde, les Pixel 8 et 8 Pro coûtent 100 $ de plus que leurs prédécesseurs. Dans cette revue, nous décomposons toutes les nouvelles fonctionnalités de l’IA et testons les caméras lors de cet événement photo classique : le mariage d’un collègue.

(Nous avons également examiné la Pixel Watch 2, mais c’est moins un .)

— Mat Smith

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Les plus grandes histoires que vous avez peut-être manquées

Le gouverneur Newsom a signé la loi mardi.

TMA

Centre de service téléphonique via Getty Images

La Californie est le troisième État à adopter une loi sur le droit à la réparation pour la protection des consommateurs, après le Minnesota et New York. Le projet de loi californien sur le droit à la réparation était de .

« C’est une victoire pour les consommateurs et la planète, et c’est tout simplement logique », a déclaré Jenn Engstrom, directrice nationale de CALPIRG. Je le répare. « À l’heure actuelle, nous extrayons les minéraux précieux de la planète, les utilisons pour fabriquer d’étonnants téléphones et autres appareils électroniques, expédions ces produits à travers le monde, puis les jetons après seulement quelques années d’utilisation. »

Il existe des exceptions aux règles. Non, cela ne couvre pas votre PS5, pas même la nouvelle. Les systèmes d’alarme ou les équipements industriels lourds qui « affectent de manière vitale l’économie générale de l’État, l’intérêt public et le bien-être public » ne le sont pas non plus.

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Cela survient un jour après une lettre similaire adressée au propriétaire de X, Elon Musk.

Le commissaire à la réglementation de l’Union européenne a publié une correspondance d’une seule page adressée au PDG de Meta, Mark Zuckerberg, donnant au fondateur de Facebook 24 heures pour répondre. La lettre reconnaît les domaines dans lesquels la modération du contenu de Meta s’est améliorée, mais soulève des inquiétudes concernant la désinformation (y compris les deepfakes) sur les plateformes sociales de l’entreprise alors que le conflit entre Israël et le Hamas se poursuit.

La loi européenne sur les services numériques (DSA) exige que les entreprises sociales, comme Meta, modèrent et suppriment les contenus illégaux et préjudiciables. La loi impose aux plateformes opérant dans l’UE de contrôler de manière proactive les contenus malveillants. Il peut imposer des amendes allant jusqu’à six pour cent du chiffre d’affaires total de toute entreprise contrevenante.

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L’OSIRIS-REx a même renvoyé du « matériel d’astéroïde bonus ».

TMA

NASA

Dans une présentation en direct, les scientifiques de la NASA ont décrit ce qu’ils ont découvert jusqu’à présent. La grande nouvelle ici est que les échantillons de l’astéroïde Bennu, vieux de 4,5 milliards d’années, contiennent non seulement du carbone, mais aussi de l’eau. Ce sont les éléments constitutifs de la vie sur Terre et, probablement, partout ailleurs. Ces échantillons ne sont sur la planète que depuis le 25 septembre et les premières études viennent de commencer. La NASA a également noté qu’elle disposait d’un « matériau d’astéroïde bonus » couvrant l’extérieur de la tête du collecteur, le couvercle et la base de la cartouche.

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Il doit vérifier à nouveau ses feuilles de calcul.

Microsoft doit à l’Internal Revenue Service (IRS) 28,9 milliards de dollars d’arriérés d’impôts, sans compter les pénalités et les intérêts, du moins selon l’administration fiscale. Le géant de la technologie a révélé dans un dossier déposé auprès de la Securities and Exchange Commission qu’il avait reçu une série d’avis d’ajustement proposé (NOPA) de l’IRS pour les années fiscales 2004 à 2013. Microsoft travaille avec l’IRS depuis près d’une décennie pour répondre aux questions sur la manière dont elle a réparti ses bénéfices entre les pays et les juridictions. Le résultat est une facture fiscale de plusieurs milliards de dollars. La société n’est pas d’accord, comme prévu, et a déclaré que de nouvelles lois fiscales pourraient réduire de 10 milliards de dollars les arriérés d’impôts qu’elle doit à la suite de cet audit particulier. Cela représente néanmoins 18,9 milliards de dollars.

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Le PDG de X répond aux responsables européens sur la gestion de la désinformation entre Israël et le Hamas

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Linda Yaccarino, PDG de X, a déclaré que la société avait redistribué ses ressources et recentré les équipes internes, qui travaillent désormais 24 heures sur 24 pour répondre aux besoins de la plateforme liés à la guerre en cours entre Israël et le Hamas. Yaccarino a parlé des mesures que le site a prises jusqu’à présent pour contenir de fausses nouvelles sur les attaques du Hamas contre Israël, ainsi que des messages haineux soutenant le terrorisme et la violence. réponse aux responsables de l’UE.

Le 10 octobre, le commissaire européen Thierry Breton a envoyé à Elon Musk une « lettre urgente » attirant son attention et lui rappelant les obligations de modération de contenu de X en vertu de la loi sur les services numériques de la région. Breton a déclaré que l’UE avait des indications selon lesquelles la plateforme anciennement connue sous le nom de Twitter était utilisée pour diffuser des contenus illégaux et de la désinformation. Certaines des images diffusées sur le site Web, a déclaré Breton, étaient des images manipulées provenant de conflits armés sans rapport avec eux. D’autres, notamment des séquences présumées d’actions militaires, ont été tirées de jeux vidéo.

En effet, les chercheurs de l’Open Source Intelligence (OSINT) ont déclaré Filaire qu’ils avaient été inondés de fausses informations sur le site Web, ce qui rendait difficile de compter sur X pour la collecte d’informations. Dans le passé, les publications des médias sur le terrain et de sources réputées apparaissaient rapidement dans les journaux des gens. Mais maintenant, l’algorithme du site Web stimule les publications des utilisateurs qui paient 8 dollars par mois pour leurs coches bleues, même s’il s’agit d’un contenu trompeur et de mensonges. Cela n’a pas aidé Musk lui-même approuvé deux comptes dont il avait déjà été prouvé qu’ils publiaient de fausses informations à ceux qui voulaient suivre les détails de la guerre. L’un de ces comptes publie également ouvertement des commentaires antisémites.

Dans sa réponse, Yaccarino a affirmé que X avait supprimé ou étiqueté « des dizaines de milliers de contenus » depuis le début de l’attaque contre Israël. Elle a également déclaré que X avait jusqu’à présent supprimé de la plateforme des centaines de comptes affiliés au Hamas et qu’il continuait de travailler avec des organisations antiterroristes pour empêcher toute nouvelle diffusion de contenus terroristes sur le site Web.

Selon Yaccarino, la plateforme dispose désormais de plus de 700 Community Notes, l’outil de vérification des faits participatif du site Web, liés à l’attaque. Et comme même les publications dans les médias peuvent désormais recevoir des notes, environ 5 000 publications contenant des images et des vidéos ont été marquées de messages issus du crowdsourcing. Le PDG a déclaré que les notes apparaissent pour les publications multimédias et les images dans les minutes qui suivent leur création et pour les publications textuelles dans un délai médian de cinq heures, mais X s’efforce de les faire apparaître plus rapidement sur les publications.

Dans sa lettre, Breton a déclaré que l’UE avait reçu des rapports de sources qualifiées selon lesquels des « contenus potentiellement illégaux » circulaient sur X malgré les signaux des autorités compétentes. Yaccarino a abordé ce sujet directement dans sa réponse, écrivant que le site Web n’a reçu aucune notification d’Europol et exhortant la Commission européenne à fournir plus de détails afin qu’elle puisse enquêter plus en profondeur.